Douglas Lilburn
Douglas Gordon Lilburn ( - ), né à Whanganui, est un compositeur néo-zélandais.
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(Ă 85 ans) Wellington |
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Royal College of Music Waitaki Boys' High School (en) |
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Biographie
Lilburn a suivi les cours du lycée de garçons de Waitaki de 1930 à 1933, puis a étudié le journalisme et la musique à Christchurch à l'Université de Canterbury (alors partie de l'Université de la Nouvelle-Zélande) (1934 à 1936). De 1937 à 1939 , il a étudié au Royal College of Music de Londres. Notamment la composition avec Ralph Vaughan Williams. Lilburn est retourné en Nouvelle-Zélande en 1940 et a travaillé comme chef d'orchestre d'abord à Wellington puis à Christchurch en 1941. Il a travaillé comme compositeur indépendant et professeur jusqu'en 1947. Entre 1946 et 1949 et de nouveau en 1951, Lilburn a été compositeur en résidence d'été à l’école de musique de Cambridge.
Au cours de ces années, il a été impliqué dans les arts en Nouvelle-Zélande, et a rencontré des artistes tels Allen Curnow, Denis Glover, Rita Angus et Alistair Campbell.
En 1947, Lilburn a pris un poste à l'Université de Victoria en tant que conférencier à temps partiel , puis en 1949 à temps plein, et en 1955 est devenu maître de conférences; il a été nommé professeur agrégé de musique en 1963 et professeur avec une chaire de musique en 1970. À la suite de visites de studios en Europe et au Canada; en 1966, Lilburn a fondé et dirigé le studio de musique électronique de l'université jusqu'en 1979, un an avant sa retraite.
Lilburn a reçu un doctorat honorifique de l'Université d'Otago en 1969 et en 1978, sa candidature a été présentée par l'Association des compositeurs de Nouvelle-Zélande à la Citation pour services rendus à la musique en Nouvelle-Zélande. Le , Lilburn devient la huitième personne nommée à l'Ordre de Nouvelle-Zélande[1].
Douglas Lilburn, est décrit comme « le doyen de la musique en Nouvelle-Zélande » et le « grand-père de la musique en Nouvelle-Zélande »[2] - [3] - [4].
Prix et récompenses
- Concours Grainger Percy, 1936, pour son poème Forêt
- Prix Cobbett, Royal College of Music, 1939 pour Phantasy pour quatuor Ă cordes
- Bourse Foli
- Prix Hubert Parry, Royal College of Music 1939
- Trois sur quatre des prix de musique organisés lors du Centenaire de la Nouvelle-Zélande (1940)
- Prix commémoratif Philip Neill 1944.
Compositions
- Drysdale Overture (1937)
- Aotearoa , ouverture pour orchestre (1940)
- Festival Overture (1940)
- Landfall in Unknown Seas pour narrateur et orchestre
- Canzonetta pour violon et alto (1942)
- A Song of Islands pour orchestre (1946)
- Symphony No. 1 First Symphony (1949)
- Symphony No. 2 Second Symphony (1951)
- Sings Harry, cycle de chant pour baryton (1954)
- Suite pour Solo Viola (1954, revue en 1955)
- Suite pour Orchestre (1955)
- A Birthday Offering pour orchestre (1955)
- Three Songs pour baryton et alto (1958)
- Symphony No. 3 Third Symphony (1961)
- Five Toronto Pieces (1963)
- The Return (1965)
- Nine Short Pieces for Piano (1966)
- Five Toronto Pieces (1969)
- Three inscapes" (1972)
- Soundscape with lake and river (1979)
- Three Sea Changes (1981)
- Piano Sonata No. 1 en ut mineur, Op. 1 (1932)
- Piano Sonata No. 2 en sol mineur (incomplete 1937)
- Piano Sonata No. 3 en fa mineur (1939)
- Piano Sonata No. 4 en la mineur (1939)
- Piano Sonata No. 5 (1949)
- Piano Sonata No. 6 (1956)
Discographie
L'Orchestre symphonique de Nouvelle-Zélande a enregistré la plupart des œuvres majeures de Lilburn , y compris les trois symphonies composées de 1949 à 1961. Son A Song of Islands a été présenté en première américaine le , par l'Orchestre Philharmonique de Fort Wayne (Indiana), dirigé par James Judd, ancien directeur musical de l'Orchestre symphonique de Nouvelle-Zélande.
- Symphonies 1 Ă 3 - New Zealand Symphony Orchestra, dir. James Judd (29-, Naxos 8.555862)
Notes et références
- (en) oxfordindex.oup.com, The oxford Dictionary of Music
- (en) sounz.org.nz
- (en) teara.govt.nz
- (en) nzsm.ac.nz
- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Douglas Lilburn » (voir la liste des auteurs).
Liens externes
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