Dope Dogs
Dope Dogs est le huitième album du chanteur et producteur de musique funk americain George Clinton avec son groupe P-Funk All-Stars, sorti en aux États-Unis.
Sortie |
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Durée |
Japon : 76:25 Europe : 75:47 États-Unis : 73:24 |
Genre | Funk, P-Funk, funk rock, soul, ragga, rock, hip-hop, rap, electro |
Format | CD, vinyle LP[1], digital[2] |
Auteur | (voir la liste des titres) |
Producteur | George Clinton |
Label | P-Vine Records, Hot Hands Records, Dogone Records |
Albums de George Clinton and the P-Funk Allstars
PĂ©riodique | Note |
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AllMusic | [3] |
The Boston Globe | favorable [4] |
Robert Christgau | A [5] - [6] |
Entertainment Weekly | A- [7] |
The Independent | favorable [8] |
Q | [9] |
Rolling Stone | [10] |
Select (en) | [11] |
The Washington Post | favorable [12] |
The Yale Herald (en) | mitigé [13] |
Présentation
Le thème central de l'album traite des chiens renifleurs de drogues qui deviennent dépendants à ces drogues mêmes qu'ils sont assignés à trouver.
À l'origine, Dope Dogs est sorti sous le nom des groupes Parliament-Funkadelic et P-Funk All-Stars, en 1995 chez Hot Hands Records au Royaume-Uni, mais des morceaux (Follow the Leader, Lost Dog, Dopey Dope Dog et Gettin' Dogged) que contenait cet album sont remplacés, dans l"édition americaine de 1998, par des inédits (Pepe, Back Up Against the Wall, Pack of Wild Dogs et My Dog).
Il existe également une version japonaise (aussi publiée en 1995), avec le morceau Kibbles and Bits qui ne figure pas dans les deux autres éditions[14].
Cet album comprend des chansons de styles variés, allant du rock (comme Dog Star (Fly On)) au hip-hop (Tales That Wag the Dog), en passant aussi par du rap (Help, Scottie, Help (I'm Tweaking and I Can't Beam up)), tout en gardant l'esprit du funk.
Ces trois albums (dont les pochettes sont sensiblement identiques, seule l'édition de 1998 porte le nom de George Clinton en remplacement de celui du groupe Parliament-Funkadelic), malgré les différences dans la liste des titres, gardent un même univers riche de styles.
Dans sa version americaine, remastérisée par David Libert (en), le titre A U.S. Customs Coast Guard Dope Dog (Hyper Mix) est un remix de U.S. Customs Coast Guard Dope Dog, où George Clinton rappe en accéléré par rapport à l'original, et le célèbre morceau instrumental electro-funk-rock Sick 'em surprend avec ses mélodies.
Bobby Gillespie, un des membres fondateurs du groupe Primal Scream, participe Ă la chanson Lost Dog, de l'album americain.
Ces albums n'ont pas de rapport avec celui sorti en 1993 chez One Nation, intitulé Dope Dog[15], qui, pourtant, contient quelques morceaux de ces albums.
Liste des titres
Selon l'édition (Japon, Europe, États-Unis), la configuration (liste des titres et ordre des morceaux) diffère.
Crédits
Membres du groupe
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Équipes technique et production
- Production, conception : George Clinton
- Producteur délégué : Archie Ivy, Stephanie Clinton
- Programmation, mixage, remixage : George Clinton, Mark Bass, Michael "Clip" Payne, Mike E. Clark, Mike Wilder
- Ingénierie : Booker T. Jones, Carl Glover, Eddie Cunningham, Eugene Lo, Frank Shaffer, Greg Reilly, Jamela Green, Jim Mishewics, Jim Vitti, Keith Jex, Mark Bass, Mike Wilder, Scott Little, Scott Summer, Thom Robinson
- Direction artistique, design : Pedro "MC Poltergeist" Bell
- Illustration : George Clinton, Pedro Bell
Notes et références
- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Dope Dogs » (voir la liste des auteurs).
- (en) Dope Dogs sur Discogs - Édition 2 × vinyle LP (Royaume-Uni, Hot Hands, 1995)
- (en-US) Écoute et téléchargement, « George Clinton & The P-Funk Allstars: Dope Dogs (édition américaine) », sur Amazon.com, (consulté le )
- (en) Michael Gallucci, « George Clinton & the P-Funk All-Stars: Dope Dogs - AllMusic Review », sur AllMusic.com (consulté le )
- (en) Jim Sullivan, « Clinton Stirs Up the Funk », The Boston Globe, The Ledger,‎ , p. D5 (lire en ligne, consulté le )
- (en-US) Robert Christgau, « Consumer Guide Reviews: George Clinton & the P-Funk All Stars », sur Robert Christgau.com (consulté le )
- (en-US) Robert Christgau, « Consumer Guide - George Clinton & the P-Funk All Stars: Dope Dogs », sur The Village Voice, (consulté le )
- (en-US) Tom Sinclair, « Dope Dogs: Music review », sur Entertainment Weekly, (consulté le )
- (en) Andy Gill, The Independent (28/04/1995), « 101 Digital Puppies », HighBeam Research (version du 2 novembre 2012 sur Internet Archive)
- (en-US) « George Clinton / P-Funk All Stars - Dope Dogs CD », sur Q (magazine) p. 116, CD Universe, (consulté le )
- (en-US) « George Clinton & the P-Funk All Stars: Dope Dogs », sur RobertChristgau.com, Rolling Stone, (consulté le )
- (en) Caspar Smith, « New Albums », Select (magazine), no 59,‎ , p. 99
- (en-US) Geoffrey Himes, « George Clinton: What Up, Dog », sur The Washington Post archive, no 17, (consulté le )
- (en) Jason Heller, Yale Herald online (19/11/1998), « This dog chases nobody's tail but his own », The Yale Herald (version du 3 mars 2016 sur Internet Archive)
- (en-US) Robert Clough, « Dope Dogs (Japanese Version) (1995) (Parliament - Funkadelic - P-Funk All Stars) », sur Motherpage, (consulté le )
- (en) Parliament, Funkadelic, P Funk Allstars – Dope Dog sur Discogs (liste des versions d'une même œuvre) (One Nation Records, 1993)
- (en) Dope Dogs sur Discogs et Dope Dogs sur MusicBrainz - Édition japonaise (P-Vine Records, 1994)
- (en) Dope Dogs sur Discogs et Dope Dogs sur MusicBrainz - Édition européenne (Total Record Company, Hot Hands Records, 1995)
- (en) Dope Dogs sur Discogs et Dope Dogs sur MusicBrainz - Réédition américaine (Dogone Records, 15/09/1998)