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Coupe continentale de combiné nordique 2023

La Coupe continentale de combiné nordique 2023 est la quinzième édition[1] de la Coupe continentale, compétition de combiné nordique organisée annuellement depuis 1991. Il s'agit de la compétition internationale de second niveau, derrière la Coupe du monde, elle aussi organisée par la Fédération internationale de ski.

Coupe continentale de combiné nordique 2023
Description de l'image Nordic combined pictogram.svg.
Généralités
Sport Combiné nordique
Organisateur(s) FIS
Éditions 15e édition[1]
Date du
au
Épreuves féminin 10
masculin 17

Navigation

Elle se déroule :

Organisation de la compétition

Programme et sites de compétition

Cette Coupe continentale débute une étape où ne sont organisées que des courses féminines.

Format des épreuves

Les calendrier des hommes et des femmes prévoient des épreuves individuelles (Gundersen et mass-start), un sprint par équipe et une épreuve mixte par équipes. Un nouveau format, le super-sprint, va également être testé au mois de février 2023[2].

Gundersen

Lors d'un Gundersen, les athlètes exécutent premièrement un saut sur un tremplin suivi d’une course de ski de fond de km, 10 km ou 15 km[3]. À la suite du saut, des points sont attribués pour la longueur et le style[3]. Le départ de la course de ski de fond s'effectue selon la méthode Gundersen (1 point = 4 secondes), le coureur occupant la première place du classement de saut s’élance en premier, et les autres s’élancent ensuite dans l’ordre fixé[3]. Le premier skieur à franchir la ligne d’arrivée remporte l’épreuve[3].

Les trente premiers athlètes à l'arrivée marquent des points suivants la répartition suivante :

Répartition des points pour les épreuves individuelles[4] - [5].
Place 1er 2e 3e 4e 5e 6e 7e 8e 9e 10e 11e 12e 13e 14e 15e 16e 17e 18e 19e 20e 21e 22e 23e 24e 25e 26e 27e 28e 29e 30e
Points 100 80 60 50 45 40 36 32 29 26 24 22 20 18 16 15 14 13 12 11 10 9 8 7 6 5 4 3 2 1

Mass-start

Les compétiteurs disputent une course de fond en partant tous en même temps[6]. Les temps à l'arrivée sont convertis en points ; à ces premiers viendront s'additionner ceux acquis lors de l'épreuve de saut, qui se déroule dans un deuxième temps. L'athlète ayant le plus de points gagne l'épreuve.

Comme pour les épreuves Gundersen, les trente premiers athlètes à l'arrivée marquent des points suivants selon la même répartition[4] - [5].

Sprint par équipes

Cette épreuve est composée par équipe de deux[7]. Les deux athlètes effectuent un saut chacun et des points sont attribués pour la longueur et le style[7]. Le départ de la course de fond s'effectue selon la cotation suivante (1 point = 2 secondes). Un des athlètes occupant la première place du classement de saut s’élance en premier, et les autres s’élancent ensuite dans l’ordre fixé[7]. La course de fond de 2 × 7,5 kilomètres avec changement d’athlète tous les 1,5 kilomètre[7]. Le premier athlète à franchir la ligne d’arrivée permet à son équipe de remporter l’épreuve.

Les nations ne peuvent engager plus de trois équipes pour cette épreuve[8]. Les huit premières équipes à l'arrivée marquent des points suivants la répartition suivante[5]:

Répartition des points pour les sprints par équipes
Place 1er 2e 3e 4e 5e 6e 7e 8e
Points 200 175 150 125 100 75 50 25

Épreuve mixte par équipes

Deux athlètes femmes et deux athlètes hommes effectuent un saut sur le tremplin. Ensuite, les quatre mêmes athlètes réalisent 2,5 km de ski de fond pour les femmes et km pour les hommes[9].

Les huit premières équipes à l'arrivée marquent des points pour la Coupe des Nations selon la répartition suivante :

Répartition des points pour les épreuves individuelles[4] - [5]
Place 1er 2e 3e 4e 5e 6e 7e 8e
Points 400 350 300 250 200 150 100 50

Supersprint

Dans ce format, la course de ski de fond est disputé en premier[2]. Les athlètes s'affrontent sur un sprint (comme en ski de fond) de 800 m maximum[2]. Tous les athlètes s’élancent pour un tour de qualification[2]. À l'issue de cette qualification, les 25 premiers passent en quart de finales[10] - [11]. Les deux premiers de chaque quart de finales accèdent aux demi-finales[10] - [11]. Les deux premiers de chaque demi-finale accèdent à la finale[10] - [11]. Des points sont accordés au classement de la course de ski de fond[2]. Ensuite, un concours de saut est disputé[2].

Dotation financière

Les sommes suivantes sont versées aux athlètes après chaque course :

Répartition financière par course en CHF[12] - [13].
Place 1er 2e 3e 4e 5e 6e
Épreuve individuelle 500 400 300 150 100 50
Épreuve par équipes 800 500 200

Compétition

Lillehammer

La coupe continentale débute par des courses féminines à Lillehammer[14]. Lors de ces premières compétitions, les meilleures Norvégiennes, les Autrichiennes et Léna Brocard (française qui s'entraîne en Norvège) sont notamment engagées[14]. Lors du concours de saut, Gyda Westvold Hansen domine le concours avec un saut à 97 m ce qui lui permet de disposer de près d'une minute d'avance[15]. Elle devance l'Allemande de 17 ans, Anne Häckel, qui a sauté à 92,5 m[14] - [16]. Annalena Slamik et Ida Marie Hagen sont quant à elles à une minute et 17 s de la leader[14]. Léna Brocard suit à trois secondes du duo[14]. Lors de la course de ski de fond, Gyda Westvold Hansen fait la course seule en tête et l'emporte[15]. Derrière, Ida Marie Hagen fait une belle course de ski de fond et elle prend la deuxième place[15]. Léna Brocard prend la troisième place et elle réalise son premier podium international[15] - [16]. Marte Leinan Lund remonte à la quatrième place et elle termine devant Annalena Slamik[15].

Le lendemain, Gyda Westvold Hansen domine à nouveau le concours de saut[17]. Elle saute à 92,5 m soit le plus long saut du jour[17]. Elle devance d'une trentaine de secondes l'Allemande, Anne Häckel, qui avait déjà terminé deuxième du concours de saut la veille[16]. Annalena Slamik est à près d'une minute de la leader et Ida Marie Hagen est en quatrième position à une minute et 15 s[17]. Léna Brocard qui est sixième après le saut décide de ne pas courir la course de ski de fond car elle est malade[18]. Dans la course de ski de fond, Gyda Westvold Hansen n'est pas inquiétée et elle l'emporte devant Ida Marie Hagen qui est remontée en deuxième position[16]. Derrière, Annika Malacinski (de), neuvième après le saut à ski, réalise le quatrième temps de ski ce qui lui permet de remonter plusieurs concurrentes et de prendre la troisième place[16]. Elle signe, comme Léna Brocard la veille, son premier podium dans une course internationale[16]. Elle devance de quelques secondes Claudia Purker qui revient d'une grave blessure au genou[16]. Seulement dix concurrentes sont classées dans cette deuxième course en raison du froid et de quelques maladies[16].

Ruka

Les premières épreuves masculines ont lieu à Ruka[19]. Les courses sont perturbés par un vent violent[20]. Deux courses qui devaient être des Gundersen sont finalement des mass start[20].

Lors de la première compétition, le concours de saut à ski ne peut avoir lieu le vendredi[19]. Ainsi, la course de ski de fond est disputée la première et le saut le lendemain[19]. La course de ski de fond est dominée par l'Italien Aaron Kostner[19]. Il devance de s Manuel Einkemmer (de) et de 11 s Maël Tyrode (de)[19]. Terence Weber est huitième à 35 s ce qui représente 8,8 points de retard[20]. Lors du concours de saut qui a lieu le samedi, les conditions sont très difficiles et plusieurs athlètes refusent même de sauter[20]. Malgré tout, Terence Weber saute à 130 m ce qui lui permet de remporter la compétition[20]. Il devance Manuel Einkemmer qui prend la deuxième place grâce à un saut à 123 m[19]. Simen Tiller prend la troisième place[19]. C'est Iacopo Bortolas (it) qui réalise le plus long saut avec un saut à 138,5 m[19].

Le lendemain, une nouvelle fois une épreuve Gundersen doit être modifiée en mass start[19]. Lors de la course de ski de fond, Aaron Kostner domine à nouveau la course de 10 km et il devance Marc-Luis Rainer (de) de 21 s et le vainqueur de la veille Terence Weber de 23,7 s[19] - [21]. Le lendemain matin, le concours de saut est disputé[19]. Terence Weber réalise le plus long saut du concours à 131 m et il remporte la course[19]. Il devance finalement les Autrichiens Christian Deuschl (de) qui a sauté à 128 m et Florian Kolb qui a sauté à 118 m[19]. Otto Niittykoski (de) signe sa meilleure performance en coupe continentale avec la quatrième place[20]. Aaron Kostner termine cinquième[20].

Quelques heures après ce concours de saut, la troisième épreuve qui est un Gundersen débute[19]. Christian Deuschl domine le concours de saut avec un saut à 137,5 m[20]. Il devance de 16 s Terence Weber, vainqueur des deux premières courses du week-end[20]. Le Norvégien, Torje Seljeset, est troisième grâce à un saut à 129,5 m[19]. Dans la course de ski de fond, Terence Weber revient sur Christian Deuschl puis le lâche[19]. Finalement, l'Allemand l'emporte avec 40 s d'avance sur l'Autrichien qui parvient à conserver la deuxième place[22] - [23]. Derrière, le Norvégien Aleksander Skoglund (de) qui était parti en 14e position remonte jusqu'en troisième place grâce au meilleur temps de ski[20]. Il termine cependant à plus d'une minute du vainqueur[24].

Rena

Lors de ce week-end de compétition, un nouveau format, le super-sprint, est disputé pour la première fois[25]. Ce format est une création d'Inge Oftebro, le père d'Einar Lurås et de Jens Lurås Oftebro[25]. Le format est envisagé pour la coupe du monde 2023-2024[25].

Comme en ski de fond, il y a une qualification puis des phases finales (quart, demi et finale)[25]. Chez les hommes, Jakob Eiksund Sæthre (de) domine la course de ski de fond devant Einar Lurås Oftebro et Thomas Rettenegger (de)[26]. Le concours de saut est disputé le samedi matin et finalement c'est Thomas Rettenegger qui emporte la compétition grâce à un saut à 104 m[26]. Sebastian Østvold (de) remonte à la deuxième place grâce à un saut à 106,5 m et Jakob Eiksund Sæthre finit troisième[26]. Chez les femmes, Daniela Dejori domine la course de ski de fond devant Thea Oihaugen et Trine Göpfert[27]. Lors du concours de saut également disputé le samedi matin, Trine Göpfert l'emporte grâce à un saut à 87,5 m[27]. Elle devance finalement Daniela Dejori et Veronica Gianmoena[27].

Ensuite, un Gundersen est au programme le même jour[27]. Chez les hommes, Sebastian Østvold domine le concours grâce à un saut à 101,5 m ce qui lui permet de disposer de 18 s d'avance sur Terence Weber et de 31 s sur Christian Deuschl (de)[26]. Sebastian Østvold fait la course de ski de fond seul en tête et l'emporte[26]. Il devance Terence Weber et Manuel Einkemmer (de)[28]. Chez les femmes, Kjersti Graesli réalise le plus long saut du concours à 97,5 m ce qui lui permet de disposer de 10 s d'avance sur Ingrid Laate et de 16 s sur Sophia Maurus (de)[27]. Daniela Dejori est quatrième après le concours de saut[27]. Lors de la course de ski de fond, elle remonte les concurrentes qui la précèdent et elle l'emporte devant l'Américaine Annika Malacinski (de) et l'Allemande Sophia Maurus[29].

Le lendemain, un Gundersen est au programme[26]. Chez les femmes, Kjersti Graesli domine à nouveau le concours de saut grâce à un saut à 110 m[27]. Elle devance d'une minute Sophia Maurus (de) et de plus d'une minute et 30 s Ingrid Laate[27]. Eva Hubinger se blesse gravement au genou lors du concours[25]. Finalement, Kjersti Graesli ne peut pas résister dans la course de 7,5 km[27]. C'est Sophia Maurus qui s'impose devant Trine Göpfert et Annika Malacinski[30]. Chez les hommes, la compétition a lieu sur le Grand tremplin (HS 139)[26]. Le concours de saut est dominé par Thomas Rettenegger (de) grâce à un saut à 124 m[26]. Il devance de 32 s Christian Deuschl (de) et Terence Weber qui sont dans la même seconde au départ[26]. Dans la course de ski de fond, Thomas Rettenegger fait une bonne partie de la course seul en tête[25]. Terence Weber et Kasper Moen Flatla (en) reviennent progressivement sur lui[25]. En fin de course, Einar Lurås Oftebro, parti en dixième position, revient également sur le groupe de tête accompagné de Manuel Einkemmer (de)[25]. Les athlètes (sauf Kasper Moen Flatla qui est décroché) se jouent la victoire au sprint[25]. Finalement, Einar Lurås Oftebro domine Terence Weber et Thomas Rettenegger[30].

Oberstdorf

Lors des courses d'Oberstdorf, une mass start et deux Gundersen sont disputés[31]. La course de ski de la mass start est dominée par quatre athlètes Norvégiens[31]. Jakob Eiksund Saethre devance Einar Lurås Oftebro de deux secondes[31]. Aleksander Skoglund (no) est troisième et Sebastian Østvold (de) quatrième[31]. Le concours de saut est décalé au lendemain[31]. Einar Lurås Oftebro domine largement le concours de saut avec un saut à 133 m ce qui lui permet de remporter la course avec plus de 20 points d'avance[31] - [32]. Terence Weber profite du concours de saut pour remonter à la deuxième place et il devance Manuel Einkemmer (de)[31].

Lors du premier Gundersen, Thomas Rettenegger (de) domine le concours de saut devant Marius Solvik et Pirmin Maier[31]. Einar Lurås Oftebro est huitième du concours de saut mais il remonte tous les concurrents qui le précèdent[31]. Finalement, il devance de plus de 17 s l'Allemand Wendelin Thannheimer (de) et son compatriote Espen Bjørnstad[31] - [32].

Lors de la dernière course, le concours de saut est annulé en raison des fortes pluies[31]. Le résultat du saut de réserve est donc utilisé[31]. Thomas Rettenegger (de) devance Kasper Moen Flatla (en)[31]. Lors de la course de ski de fond, Terence Weber, parti en 5e position, l'emporte devant Manuel Einkemmer (de) et David Mach[31]. Au classement général de la compétition, Terence Weber est largement en tête[31].

Eisenerz

Initialement prévu au mois de janvier, les compétitions sont déplacées en raison du manque de neige[33]. Elles ont lieu en mars et des athlètes non sélectionnés aux championnats du monde y participent[33].

Chez les femmes, Svenja Würth domine le concours de saut de la première course avec un saut à 100 m[33]. Elle devance de plus d'une minute et 30 s l'Autrichienne Claudia Purker qui a sauté à 94,5 m[33]. Elle devance Cindy Haasch (en), Anne Häckel et Léna Brocard[33]. Lors de la course de ski de fond, Svenja Würth fait une course solitaire et l'emporte[33]. Derrière, Léna Brocard remonte jusqu'en deuxième position et elle termine à une minute de la vainqueur[33]. Claudia Purker prend la troisième place devant Cindy Haasch et Annalena Slamik[33]. Lisa Hirner qui était engagée n'a finalement pas pris part à la compétition[33].

Lahti

À Lahti, Wendelin Thannheimer (de) domine le concours de saut de la première course avec un saut à 126,5 m[34]. Christian Deuschl (de) est deuxième à 10 s grâce à un saut à 125,5 m[34]. Terence Weber saute également à 125,5 m et il est à 17 s du leader[34]. Andreas Skoglund réalise le plus long saut du concours à 129 m avec deux barres d'élan de plus que les autres concurrents et il est 26 s du leader[35] - [36]. Au total, il y a 16 athlètes à moins d'une minute du leader[34]. Lors de la course de ski de fond, Andreas Skoglund revient sur Terence Weber et Wendelin Thannheimer dans le premier tour de la course[36]. Le trio reste ensuite jusqu'à la mi-course avant qu'Andreas Skoglund lâche les deux Allemands[36]. Il devance Terence Weber qui bat Wendelin Thannheimer au sprint[34]. David Mach réalise le meilleur temps de ski ce qui lui permet de remonter de la quatorzième à la quatrième place[34].

Le lendemain, le programme est adapté[37]. En raison du vent trop important, l'épreuve par équipes est décalée au dimanche et le deuxième Gundersen est programmé le samedi[36]. Pour cette course, le saut de réserve est utilisé[37]. Ainsi, Terence Weber est en tête grâce à un saut à 128 m[37]. Il devance de 34 s son compatriote Wendelin Thannheimer (de)[37]. Un troisième Allemand, Pirmin Maier, est troisième mais déjà à plus d'une minute du leader[37]. Lors de la course de ski de fond, Terence Weber fait la course seul en tête et l'emporte[36]. De même, Wendelin Thannheimer fait une course en solitaire et il termine deuxième à près d'une minute du vainqueur[37]. La bataille pour la troisième est plus serrée avec un duel entre David Mach et Fabio Obermeyr (de)[37]. Finalement, c'est l'Autrichien qui le prend le meilleur sur l'Allemand[37]. Grâce au meilleur temps de ski, il remonte de la 22e à troisième place[36].

La course par équipes a finalement le dimanche[38]. Le concours de saut est dominé par deux équipes norvégiennes[38]. La deuxième équipe norvégienne composée de Kasper Moen Flatla (en) et de Simen Tiller est en tête grâce à des sauts à 120 m et 121,5 m[38]. Elle devance l'équipe I de 15 s[38]. Cette équipe est composé de Sebastian Østvold (no) et d'Andreas Skoglund qui ont respectivement sauté à 116,5 m et à 119 m[38]. L'équipe d’Allemagne II est troisième à 26 s et l'équipe d'Allemagne I est à 28 s[38]. Lors de la course de ski de fond, les équipes norvégiennes perdent de nombreuses places[38]. Au contraire, la première équipe d'Allemagne remonte en tête et l'emporte[38]. Elle devance de quelques secondes une équipe autrichienne composée de Fabio Obermeyr (de) et de Christian Deuschl (de) et de 52 s l'équipe d'Allemagne II[38].

Les courses d'Oberwiesenthal sont finalement annulées en raison du manque de neige[36].

Bilan de la saison

Chez les hommes, Terence Weber remporte largement le classement général[36]. Il a remporté cinq courses et il a également terminé quatre fois deuxième[36]. Il devance Wendelin Thannheimer (de) qui a bien finit la saison et Manuel Einkemmer (de)[36]. Au total, 67 athlètes représentant 13 nations ont marqué des points dans la compétition[36].

Chez les femmes, c'est Sophia Maurus (de) qui remporte le classement général de la compétition devant Annika Malacinski (de) et Joanna Kil (pl)[36].

Classement général

Individuel

Femmes


Hommes


Coupe des Nations

Le classement de la Coupe des nations est établi à partir d'un calcul qui fait la somme de tous les résultats obtenus par les athlètes d'un pays dans les épreuves individuelles.

Résultats

Compétition féminine

Lillehammer
Étape Date Épreuve Vainqueur Deuxième Troisième Leader du classement
1 HS 98 / km Gyda Westvold Hansen Ida Marie Hagen Léna Brocard Gyda Westvold Hansen
2 HS 98 / km Gyda Westvold Hansen Ida Marie Hagen Annika Malacinski (de)
Whistler
Championnats du monde juniors (29 janvier au 5 février)
Rena
Étape Date Épreuve Vainqueur Deuxième Troisième Leader du classement
3 et HS 109 / supersprint Trine Göpfert Daniela Dejori Veronica Gianmoena Gyda Westvold Hansen
4 HS 109 / km Daniela Dejori Annika Malacinski (de) Sophia Maurus (de) Daniela Dejori
5 HS 109 / 7,5 km Sophia Maurus (de) Trine Göpfert Annika Malacinski (de) Annika Malacinski (de)
Eisenerz
Étape Date Épreuve Vainqueur Deuxième Troisième Leader du classement
6
HS 109 / km Svenja Würth Léna Brocard Claudia Purker Annika Malacinski (de)
7
HS 109 / épreuve mixte par équipes Voir le résultat dans le paragraphe « compétition mixte »
8
HS 109 / km Léna Brocard Cindy Haasch (en) Claudia Purker Sophia Maurus (de)
Oberwiesenthal
Étape Date Épreuve Vainqueur Deuxième Troisième Leader du classement
9 HS 106 / km Compétitions annulées
10 HS 106 / 7,5 km

Compétition mixte

Eisenerz
Date Épreuve Vainqueur Deuxième Troisième

Épreuve par équipes mixtes HS 109 Drapeau de l'Allemagne Allemagne Drapeau de l'Autriche Autriche Drapeau de la Norvège Norvège

Compétition masculine

Ruka
Étape Date Épreuve Vainqueur Deuxième Troisième Leader du classement
1 et Mass start / HS 142 Terence Weber Manuel Einkemmer (de) Simen Tiller Terence Weber
2 et Mass start / HS 142 Terence Weber Christian Deuschl (de) Florian Kolb
3 HS 142 / 10 km Terence Weber Christian Deuschl (de) Aleksander Skoglund (de)
Whistler
Championnats du monde juniors (29 janvier au 5 février)
Rena
Étape Date Épreuve Vainqueur Deuxième Troisième Leader du classement
4 et HS 109 / supersprint Thomas Rettenegger (de) Sebastian Østvold (de) Jakob Eiksund Sæthre (de) Terence Weber
5 HS 109 / 10 km Sebastian Østvold (de) Terence Weber Manuel Einkemmer (de)
6 HS 139 / 10 km Einar Lurås Oftebro Terence Weber Thomas Rettenegger (de)
Oberstdorf
Étape Date Épreuve Vainqueur Deuxième Troisième Leader du classement
7 et Mass start / HS 137 Einar Lurås Oftebro Terence Weber Manuel Einkemmer (de) Terence Weber
8 HS 137 / 10 km Einar Lurås Oftebro Wendelin Thannheimer (de) Espen Bjørnstad
9 HS 137 / 10 km Terence Weber Manuel Einkemmer (de) David Mach
Eisenerz
Étape Date Épreuve Vainqueur Deuxième Troisième Leader du classement
10
HS 109 / 10 km Wendelin Thannheimer (de) Manuel Einkemmer (de) David Mach Terence Weber
11
HS 109 / épreuve mixte par équipes Voir le résultat dans le paragraphe « compétition mixte »
12
HS 109 / 10 km Wendelin Thannheimer (de) Jakob Lange Manuel Einkemmer (de) Terence Weber
Lahti
Étape Date Épreuve Vainqueur Deuxième Troisième Leader du classement
13 HS 130 / 10 km Andreas Skoglund Terence Weber Wendelin Thannheimer (de) Terence Weber
14 HS 130 / 10 km Terence Weber Wendelin Thannheimer (de) Fabio Obermeyr (de)
15 HS 130 / Team sprint Drapeau de l'Allemagne Allemagne I Drapeau de l'Autriche Autriche I
  • Fabio Obermeyr (de)
  • Christian Deuschl (de)
Drapeau de l'Allemagne Allemagne II
  • Simon Mach (de)
  • Richard Stenzel
Oberwiesenthal
Étape Date Épreuve Vainqueur Deuxième Troisième Leader du classement
16 HS 106 / km Compétitions annulées
17 HS 106 / 7,5 km

Bibliographie

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Liens externes

Notes et références

  1. La compétition existe depuis 1991 sous le nom de Coupe du monde B. Elle a pris en 2009 le nom de Coupe continentale : c'est pourquoi elle n'en est en 2023 qu'à sa quinzième édition.
  2. Florian Burgaud, « Combiné nordique : la FIS va tester un nouveau format, le super sprint », sur nordicmag.info, .
  3. « Chaux-Neuve 2019 : le combiné nordique en quatre vidéos », sur francebleu.fr, .
  4. 2023, p. 3.
  5. 2023, p. 3.
  6. « à propos du sport », sur eyowf2011.cz (consulté le ).
  7. « Val Di Fiemme 2013 : présentation des mondiaux de ski nordique », sur vavel.com, (consulté le ).
  8. 2023, p. 4.
  9. (en) « FIS Broadcast Manual NC 2021 » [PDF], sur fis-ski.com.
  10. 2023, p. 6.
  11. 2023, p. 6.
  12. 2023, p. 7.
  13. 2023, p. 7.
  14. Florian Burgaud, « Combiné nordique Lillehammer : Léna Brocard à 3 secondes du podium après le saut en coupe continentale », sur nordicmag.info, .
  15. (en) « COC: Hansen wins season opening in Lillehammer », sur fis-ski.com, .
  16. (de) Sandra Volk, « Nordische Kombination: COC-Auftakt der Damen in Lillehammer », sur xc-ski.de, .
  17. (en) « COC: Victory for Hansen, maiden podium for Malacinski », sur fis-ski.com, .
  18. Florian Burgaud, « Combiné nordique Lillehammer : Léna Brocard, sixième du concours de saut à ski, ne fera pas la course de ski de fond », sur nordicmag.info, .
  19. (en) « COC: Three wins for Weber in Ruka (FIN) », sur fis-ski.com, .
  20. (de) Sandra Volk, « Nordische Kombination: Dreifachsieg für Weber in Ruka », .
  21. (fi) Jaarli Pirkkiö, « Waltteri Karhumaa 33. Rukan Continental cupissa – Italian Aaron Kostner voitti », sur lapinkansa.fi, .
  22. (fi) Jaarli Pirkkiö, « Rukan Continental cupin yhdistetty Terence Weberin heiniä », sur lapinkansa.fi, .
  23. (it) « Kostner quarto e Bortolas sesto nella gundersen Coc di Ruka », sur fisi.org.
  24. (no) « Skoglund beste nordmann i Ruka », sur radioh.no, .
  25. (de) Sandra Volk, « Nordische Kombination: COC in Rena – deutscher Doppelsieg zum Abschluss », .
  26. (en) « COC: Rettenegger, Oestvold and Oftebro win in Rena (NOR) », sur fis-ski.com, .
  27. (en) « COC: Super Sprint and 7.5km race in Rena (NOR) », sur fis-ski.com, .
  28. Maxime Bouhier, « Combiné nordique Rena : Maël Tyrode aux portes du top 10 », .
  29. (it) « Dejori vince la Gundersen femminile di CoC a Rena », .
  30. (it) « Dejori nona nella Gundersen bis di Alpen Cup a Rena, doppietta tedesca. Oftebro vince nel maschile », .
  31. (de) Sandra Volk, « Nordische Kombination: Oftebro und Weber siegen beim COC in Oberstdorf », sur xc-ski.de, .
  32. (no) « Oftebro vant to kontinentalcuprenn i Tyskland », sur radioh.no, .
  33. (de) Sandra Volk, « COC Nordische Kombination: Erfolgreiches DSV-Wochenende », sur xc-ski.de, .
  34. (en) « Win for Skoglund in Lahti (FIN) », sur fis-ski.com, .
  35. (no) « Skoglund vant kontinentalcuprenn i Lahti », sur nettavisen.no, .
  36. (de) Sandra Volk, « Nordische Kombination: Deutsche Erfolge sowie Gesamtsiege beim COC », sur xc-ski.de, .
  37. (en) « COC: German double victory in Lahti (FIN) », sur fis-ski.com, .
  38. (en) « COC: Germany wins Team Sprint in Lahti (FIN) », sur fis-ski.com, .
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