Ne doit pas être confondu avec Résistance populaire (Yémen), Résistance populaire dans la région de l'est ou Comités populaires (Yémen).
Comité de résistance populaire | |
Présentation | |
---|---|
Chef | Zouhir al-Qaïsi |
Fondation | 2000 |
Siège | Gaza |
Branche armée | Brigades Al-Nasser Salah al-Deen |
Idéologie | Islamisme Nationalisme palestinien Antioccidentalisme Antisionisme Fondamentalisme musulman |
Couleurs | blanc, rouge, vert, noir |
Le Comité de résistance populaire (arabe : لجان المقاومة الشعبية, Lijān al-Muqāwama al-Shaʿbiyya) est un comité regroupant plusieurs organisations armées palestiniennes impliquées dans le Conflit israélo-palestinien, opérant principalement dans la bande de Gaza. Créé en 2000 par Jamal Abou Samhadana, un ancien du Fatah et de sa faction armée Tanzim, il est composé d'anciens membres du Fatah, ainsi que de membres du Hamas, du Jihad islamique palestinien et des Brigades des martyrs d'Al-Aqsa. Les Brigades Al-Nasser Salah al-Din forment sa branche armée[1].
Activités terroristes
Formé fin 2000 par l'ancien membre du Fatah et Tanzim Jamal Abou Samhadana. L'organisation a planifié et exécuté un certain nombre d'opérations, mais est spécialisé dans la pose de bombes routières et de charges d'explosifs sur des véhicules civils et militaires. Comme attentat, l'attentat à la bombe du 20 novembre 2000 contre un autobus avec des enfants tue deux personnes. Le 2 mai 2004, Tali Hatuel, non armée et enceinte et ses quatre filles âgées de 2 à 11 ans, sont massacrés sur la route de Kissoufim par l'organisation. Elle est désignée comme organisation terroriste par Israël et les États-Unis