Christian Estèbe
Christian Estèbe, romancier français né en à Montpellier, en France. Successivement représentant pour des maisons d'édition, bibliothécaire et libraire, il est maintenant romancier[1]. En 2012, à cinquante neuf ans, marqué par la mort de sa mère[2], il décide d'écrire sur leur relation dans La gardienne du château de sable, qui remporte deux prix littéraires.
Christian Estèbe
| Naissance |
Montpellier  |
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| Activité principale |
Bibliographie
- Piano bar, Lunot-Ascot Éditeur, 1982
- La prière du guetteur, Presses de la renaissance, 1989
- Messe de granit, Le Temps qu'il fait, 1991
- Les jours de la barque, Le temps qu'il fait, 1997[3]
- Petits exercices d'admiration, Éditions Finitude, 2007[4]
- Le petit livre de septembre, Éditions Finitude, 2008[5]
- Des nuits rêvées pour un train fantôme, Éditions Finitude, 2010 sélectionné pour le Prix Wepler[1]
- La gardienne du château de sable, Éditions Finitude, 2012[2] - [6] Prix Jean Carrière 2012 et Prix Morlino 2012
- Toutes les barques s'appellent Emma, Éditions Finitude, 2014
- Les cicatrices des larmes, La Part Commune, 2018
Notes et références
- « Christian Estebe », sur Premiere
- Le Prix Morlino 2012
- René de Ceccatty, « L'élégance du peu », Le Monde,‎ (lire en ligne)
- Pierre-Robert Leclercq, « Marc Bernard, un prolétaire indocile », Le Monde,‎ (lire en ligne)
- Martine Laval, « J'veux pas y aller », Télérama,‎ (lire en ligne)
- « La gardienne du château de sable », Culturebox,‎ (lire en ligne)
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