Cent vues du mont Fuji

Dans la postface de cette œuvre, Hokusai écrit un texte resté célèbre :

« Depuis l’âge de six ans, j’avais la manie de dessiner les formes des objets. Vers l’âge de cinquante, j’ai publié une infinité de dessins ; mais je suis mécontent de tout ce que j’ai produit avant l’âge de soixante-dix ans. C’est à l’âge de soixante-treize ans que j’ai compris à peu près la forme et la nature vraie des oiseaux, des poissons, des plantes, etc. Par conséquent, à l’âge de quatre-vingts ans, j’aurai fait beaucoup de progrès, j’arriverai au fond des choses ; à cent, je serai décidément parvenu à un état supérieur, indéfinissable, et à l’âge de cent dix, soit un point, soit une ligne, tout sera vivant. Je demande à ceux qui vivront autant que moi de voir si je tiens parole. Écrit, à l’âge de soixante-quinze ans, par moi, autrefois Hokusai, aujourd’hui Gakyo Rojin, le vieillard fou de dessin[2]. »

• Cent vues du mont Fuji, 1834 - 1840
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  Le mont Fuji à Torigoe, nº18
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  La grande vague
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  Dans la fenêtre
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  Le Fuji au clair de lune
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  Mirror Stand Fuji
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  Le Fuji dans les montagnes Totomi (dessin préparatoire)
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  Fushiana no Fuji (vol. 3)