Boulevard Béranger

Croisement entre le boulevard Béranger et la rue George Sand.

Le boulevard part de l'ouest de la place Jean-Jaurès et s’étend jusqu'à la place Saint-Éloi, où se trouve le prieuré Saint-Éloi.

Il porte le nom de Pierre-Jean de Béranger (1780-1857), qui a séjourné à Saint-Cyr-sur-Loire (1836-1838) et Tours (1838-1840), sur le Grand Mail devenu boulevard Béranger.

Son percement, à l'emplacement du mail, est prévu dans le plan de Tours présenté par Jean-Bernard-Abraham Jacquemin vers 1810[1].

En 2017, un projet de réalisation de la ligne B de tramway est annoncé, menaçant le boulevard. Toutefois, la mobilisation d'associations de protection du patrimoine parviennent à en modifier le tracé afin d'éviter sa destruction[2].

• n^o 1 : La Poste
• n^o 33 : Hôtel Sagey (ancien hôtel du Président Goüin)
• n^o 36 : Hôtel de la Caisse d'épargne de Tours
• n^o 37 : Hôtel du Saussay (dit Goüin, Auvray, de Rochambeau, puis de l'Économie française)
• n^o 47 : Hôtel de Clocheville
• n^o 49 : Hôpital Gatien de Clocheville
• n^o 56 : Hôtel particulier
• n^o 64 : The Brunswick
• n^o 70 : Hôtel de Morry
• n^o 94 : Trésorerie générale d'Indre-et-Loire
• n^o 116 : Manoir Béranger, qui accueille aujourd'hui les Presses universitaires François-Rabelais, l'Institut européen d'histoire et des cultures de l'alimentation et la Cité de la gastronomie
• Palais de justice de Tours
• Un orme, au milieu des platanes, rappelle que le boulevard reprend l'emplacement d'un mail planté d'ormes.

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  Hôtel Sagey
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  Siège de la Caisse d'épargne de Tours
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  Hôtel de l'Économie française
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  Portail principal de l'hôpital Clocheville.
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  The Brunswick
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  Manoir Béranger
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  Orme sur le boulevard.

• Louis-Virgile-Raoul du Saussay
• Eugène Goüin
• Henri Lemaître
• Sante Vallar