Bernard Kuntz
Bernard Kuntz, est un syndicaliste professeur agrégé de lettres modernes, né le à Dijon (Côte-d'Or), ancien président du SNALC (1997-2011), et désormais membre de Force ouvrière.
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Grand prix d'Enseignement et Liberté (d) () |
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Biographie
Né dans un milieu ouvrier (son père était chef outilleur dans la métallurgie), il a épousé à Grenoble le Nicole Kuntz, professeur agrégée de lettres classiques au Lycée A. Triboulet de Romans-sur-Isère, candidate en 2008 en première position sur la liste du SNALC à la CAPA de Grenoble[1] (où elle a été élue) et en septième position sur celle de la CAPN (où elle n'a pas été élue)[2] et depuis 2009, secrétaire de la section académique du SNALC-Grenoble. Bernard Kuntz est père de deux enfants.
Bernard Kuntz a fait ses études à Grenoble. Il obtient le CAPES de lettres modernes. En 2003, il est promu agrégé de lettres modernes sur liste d'aptitude.
Bernard Kuntz est professeur au Collège Le Savouret de Saint-Marcellin (Isère). Il a d'abord adhéré au SGEN[3], puis, en 1984, il s’inscrit au Syndicat National des Lycées et Collèges (SNALC-CSEN). De 1986 à 1989, il est Secrétaire du SNALC-CSEN pour l’académie de Grenoble, puis, de 1989 à 1990, il est responsable des collèges au SNALC-CSEN. En , il entre au Bureau National et devient de 1992 à , secrétaire national à la pédagogie du SNALC-CSEN. Après la mort de Jean-Marcel Champion, il occupe de à les fonctions de vice-président par intérim du Syndicat National des Lycées et Collèges.
Du au , il est Président du Syndicat National des Lycées et Collèges (SNALC). De à , il est également secrétaire général de la CSEN. Par arrêté du ministre de l’Education nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche en date du , il est nommé membre du comité consultatif auprès du Haut Conseil de l’éducation[4]. En 2008-2009, il est secrétaire général adjoint de la FGAF puis en 2009, secrétaire national de la FGAF avant de redevenir, de 2009 à 2011, secrétaire général adjoint de la FGAF.
Le , cinq mois avant les élections professionnelles, il annonce qu'il quitte le SNALC-CSEN-FGAF pour rejoindre le syndicat Force ouvrière, en déclarant qu'il trouvera chez ce syndicat une plus grande liberté.
Publications
- Les déshérités du savoir (en collaboration avec Armel Pecheul), Frison-Roche, 1996 (lauréat du Grand prix d’Enseignement et Liberté)
- Prof de droite ? le crépuscule scolaire et idéologique de gauche, Paris : F.-X. de Guibert, 2000[5]
- Planète Rimbe, Edilivre, 2007[6]
- Faut-il en finir avec le collège unique ? Magnard, 2009, avec Philippe Meirieu
Prix
- Grand prix d'Enseignement et Liberté 1996[7].
Notes et références
- Listes pour les élections à la CAPA des professeurs agrégés de l'académie de Grenoble du 2 décembre 2008
- Listes pour les élections à la CAPN des professeurs agrégés du 2 décembre 2008
- Prof de droite?, page 11 (cf. Publications)
- Arrêté du 28 août 2006
- http://bibliographienationale.bnf.fr/livres/CuM_04.H/cadre370-11.html
- http://bibliographienationale.bnf.fr/Livres/CuM_07.H/cadre920-39.html
- « Prix d'enseignement et liberté », sur enseignementliberte.org (consulté le ).
Liens externes
- « aes-france.org/Panorama-des-re… »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?)
- « snalc.fr/page.tpl?sku_ed=0102 »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?)