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Avanti c'è posto...

Avanti c'è posto... (litt. « Avancez, il y a de la place ! »[1]) est une comédie romantique italienne réalisée par Mario Bonnard et sortie en 1942.

Avanti c'è posto...

Réalisation Mario Bonnard
Scénario Aldo Fabrizi
Federico Fellini
Cesare Zavattini
Piero Tellini
Acteurs principaux
Sociétés de production Cines
Pays de production Drapeau de l'Italie Italie
Genre Comédie romantique
Durée 82 minutes
Sortie 1942

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution

Le film, ainsi que Campo de' fiori, réalisé par Bonnard lui-même, a contribué à populariser Aldo Fabrizi en dehors des limites régionales dans lesquelles il s'était établi comme acteur de théâtre.

Synopsis

La pauvre servante Rosella se fait voler, lors d'un trajet en trolleybus, l'argent du loyer qu'elle vient de recevoir de ses propriétaires. Ses malheurs ne s'arrêtent pas là puisque ces derniers ne la considèrent plus comme digne de confiance et la renvoient manu militari. Heureusement, la jeune fille reçoit l'aide inespérée d'un chef d'orchestre romain du nom de Cesare. Après l'avoir accompagnée au poste de police pour signaler le vol, Cesare tente de lui trouver un autre emploi de domestique. Mais lorsqu'elle rencontre Bruno, un chauffeur de trolleybus et ami du chef d'orchestre, Cesare comprend qu'il n'est pas destiné à l'amour de Rosella et n'a d'autre choix que d'organiser une dernière rencontre entre les deux jeunes gens avant que Bruno ne soit rappelé au front.

Fiche technique

Distribution

Production

Le film a été réalisé dans les studios de Cinecittà à Rome sur pellicule Ferrania Pancro C.6, enregistrement sonore RCA Photophone, développement et tirage S.A.C.I..

Le coscénariste, avec Fabrizi lui-même, Zavattini et Tellini, était ce « Federico » mentionné comme tel au générique, c'est-à-dire Federico Fellini. Il s'occupait à l'époque des dialogues de Fabrizi dans les avanspettacoli. Son amitié avec Fabrizi a été essentielle pour convaincre l'acteur romain d'accepter le rôle de Don Pappagallo dans Rome, ville ouverte (1945) de Roberto Rossellini[4].

Notes et références

  1. (it) Jean-Pierre Bleys, Claire Demoulin et Jean A. Gili, « Il cinema ritrovato », 1895, Bologne, 20-27 juillet 2021, p. 201 (lire en ligne)
  2. (it) « Avanti c'è posto... », sur archiviodelcinemaitaliano.it (consulté le )
  3. (it) Jacqueline Reich et Piero Garofalo, Re-viewing Fascism: Italian Cinema, 1922-1943, Indiana University Press,
  4. Ugo Pirro, Celluloide, Einaudi, 1995.

Liens externes

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