Autoportraits de Gustave Courbet
Les autoportraits de Gustave Courbet sont une des parties les plus significatives de l'œuvre de l'artiste ornanais. Dans le cours de sa carrière artistique, Gustave Courbet s'est représenté souvent en se mettant en scène, particulièrement dans ses œuvres de jeunesse d'inspiration romantique (le Sculpteur, l'Homme blessé...). Le point culminant de cette production d'autoportraits est L'Atelier du peintre où l'artiste se représente au centre d'une vaste composition allégorique, entouré de personnages et de proches.
Les premiers autoportraits
 Autoportrait de Gustave Courbet à l'âge de quatorze ans. Autoportrait de Gustave Courbet à l'âge de quatorze ans.
 portrait de Courbet par lui-meme (1840). portrait de Courbet par lui-meme (1840).
_-_WGA05478.jpg.webp) Portrait de l'auteur. Portrait de l'auteur.
 Autoportrait au chien noir. Autoportrait au chien noir.
L'artiste en personnage romantique
 Le Sculpteur Le Sculpteur
 Les Joueurs de dames. Les Joueurs de dames.
 
 
.jpg.webp) Le Désespéré Le Désespéré
 Les Amants heureux Les Amants heureux
 L'homme blessé. L'homme blessé.
Affirmation de l'artiste
 L'homme Ă la pipe. L'homme Ă la pipe.
_-_WGA05489.jpg.webp) Le violoncelliste. Le violoncelliste.
 
 
 
Courbet se met en scène
 
 L'Atelier du peintre. L'Atelier du peintre.
 Bonjour monsieur Courbet Bonjour monsieur Courbet
%252C_oil_on_canvas%252C_210.2_x_183.5_cm%252C_Museum_of_Fine_Arts%252C_Boston..jpg.webp) La Curée La Curée
Derniers autoportraits
 
 
 
 La Truite, 1873, musée d'Orsay, qui peut être considérée comme une représentation du peintre lui-même en proie à ses difficultés du moment[1] La Truite, 1873, musée d'Orsay, qui peut être considérée comme une représentation du peintre lui-même en proie à ses difficultés du moment[1]
Notes et références
- « La Truite », sur musee-orsay.fr (consulté le )
Bibliographie
- Marie Thérèse Lemoyne de Forges, Autoportraits de Courbet (Catalogue d'exposition), Paris, Éditions des Musées nationaux, (OCLC 872215895).
- Laurence Des Cars (conservateur au musée d'Orsay), Dominique de Font-Réauls (conservateur au musée d'Orsay), Gary Tinterow (directeur du département d'art moderne et contemporain du Metropolitan Museum of Art) et Michel Hilaire (directeur du musée Fabre), Gustave Courbet : Exposition Paris, New York, Montpellier 2007-2008, Paris, Réunion des musées nationaux, , 477 p. (ISBN 978-2-7118-5297-0).
- Jorge Coli, L'Atelier de Courbet, Paris, Hazan, , 143 p. (ISBN 978-2-7541-0160-8), « L'atelier, c'est moi », p. 20-35.
- Stéphane Guégan, Laurence Madeline et Thomas Schlesser, L'Autoportrait dans l'histoire de l'art, Issy-les-Moulineaux, Beaux Arts éditions, , 255 p. (ISBN 978-2-84278-689-2), « Gustave Courbet, le nombril du monde », p. 102-113.
- Ségolène Le Men, « Les « incipit » de Courbet et l’autoportrait », dans Fabrice Flahutez, Itzhak Goldberg, Panayota Volti, Visage et portrait, visage ou portrait, Nanterre, Presses universitaires de Paris Ouest, (ISBN 2821826796, DOI 10.4000/books.pupo.936, lire en ligne), p. 157-174.
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