Australian Security Intelligence Organisation
L’Australian Security Intelligence Organisation (ASIO) est le service de renseignement intérieur australien[1]. L’ASIO est responsable de la protection de l'Australie et de ses citoyens contre l'espionnage, le sabotage, les interférences d'origines étrangères, la violence à but politique, les attaques contre les systèmes de défense australiens et le terrorisme[2] - [3]. Son quartier général est situé à Canberra et il maintient des bureaux dans chacun des États continentaux et capitales territoriales[4].
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| Fondation | |
| Site web |
(en) www.asio.gov.au |
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Histoire
Dans les années 1940, l’affaire du projet Venona a montré au gouvernement australien d’alors la nécessité d’un service similaire au MI5 britannique, sur le modèle duquel il a été fondé le .
C’est l’équivalent du CSIS canadien, avec lequel il collabore régulièrement, et de la DGSI française. Il collabore aussi souvent avec la CIA et le FBI, de même qu’avec le SIS néo-zélandais.
Notes et références
- (en) Dany Welch, « New laws to widen ASIO spy powers », The Sydney Morning Herald,‎ (lire en ligne, consulté le )
- (en) « Australian Security Intelligence Organisation Act 1979 », Office of Legislative Drafting and Publishing, (consulté le )
- « asio.gov.au/About-ASIO/Overview.html »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?)
- (en) « ASIO Contact Information Page », Australian Security Intelligence Organisation (consulté le )
Annexes
Bibliographie
- (en) David Horner, The Spy Catchers : The Official History of ASIO, 1949-1963, Crows Nest, Australie, Allen & Unwin, , 736 p. (ISBN 978-1-74331-966-6, présentation en ligne)
- (en) John Blaxland, The Protest Years : The Official History of ASIO, 1963-1975, Crows Nest, Australie, Allen & Unwin, , 576 p. (ISBN 978-1-925266-93-1)
- (en) John Blaxland et Rhys Crawley, The Secret Cold War : The Official History of ASIO, 1975-1989, Crows Nest, Australie, Allen & Unwin, , 552 p. (ISBN 978-1-76029-321-5)