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Arthur Herbert Jackson

Arthur Herbert Jackson, né le à Londres et mort en 1881, est un compositeur anglais.

Arthur Jackson
Biographie
Naissance

Poultry (en)
Décès
(à 29 ans)
Londres
Nationalité
Activité

Biographie

Arthur Herbert Jackson, né le au 19 Poultry Street à Londres, est le fils d'Isaac Jackson et de sa femme Jane née Dubbin[1]. Il étudie à partir de 1872 à la Royal Academy of Music, où il remporte la médaille Lucas pour la composition ; il y est élu en 1878 professeur d'harmonie et de composition[2]. Il meurt à Londres[3], le à l'âge de 29 ans, d'une méningite tuberculeuse[1].

Œuvres

Les compositions orchestrales manuscrites de Jackson sont[2] :

  • Andante et Allegro Giocoso, publié pour le piano, 1881 ;
  • Ouverture à la mariée d'Abydos ;
  • Intermezzo ;
  • Concerto pour pianoforte et orchestre, joué par Agnès Zimmermann au concert de la Philharmonic Society, 30 juin 1880, et la partie pour pianoforte publiée la même année ;
  • Concerto pour violon en mi, joué par Prosper Sainton au concert orchestral de Frédéric Hymen Cowen, 4 décembre 1880.

Pour le piano, il publie : Toccata, 1874 ; March and Waltz, Brighton, 1878 ; Dans un bateau, barcarolle, Elaine, 1879 ; Andante con variazione, 1880 ; Capriccio ; Gavotte et Musette et Song of the Stream, Brighton, 1880 ; trois Humorous Sketches, 1880 ; et fugue en mi, à la fois pour quatre mains ; trois Danses Grotesques, 1881[2].

Ses pièces vocales sont : manuscrit, deux messes pour voix masculines; Magnificat ; cantata, Jason, The Siren's Song, pour voix de femmes, harpe, violon et pianoforte, publié en 1885; Twas when the seas were roaring, chant en quatre parties, 1882; O Nightingale, duo; et chansons : Lullaby, Who knows ?, I meet thee, love, again (1879), Pretty little Maid, The Lost Boat[2].

Notes et références

  1. (en) « Jackson, Arthur Herbert », dans Oxford Dictionary of National Biography (lire en ligne)
  2. (en) « Jackson, Arthur Herbert », dans Sidney Lee, Dictionary of National Biography, vol. 29, Londres, Smith, Elder & Co, . .
  3. Humphreys et Evans 1997, p. 182.

Bibliographie

Liens externes

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