ArrĂŞtez le massacre !
Arrêtez le massacre ! est un roman policier écrit par l’écrivain français Georgius en 1959. C'est le cinquième roman publié par l'auteur. Il paraît sous la signature de Georgius ; le pseudonyme de Jo Barnais est rappelé entre parenthèses, mais le personnage qui porte ce nom n'apparaît pas dans l'histoire, pas plus que le duo policier Lambert-Chadal qui opère dans plusieurs romans précédents de l'auteur.
ArrĂŞtez le massacre ! | |
Auteur | Georgius |
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Pays | France |
Genre | Roman policier |
Éditeur | Gallimard |
Collection | SĂ©rie noire no 530 |
Date de parution | 1959 |
Nombre de pages | 186 |
Chronologie | |
Résumé
Le docteur Samuel et son secrétaire Paul Bernin arrivent à l'auberge Le Solitaire, réputée mais très isolée dans la campagne bressane. Ils veillent sur Michelle, une prétendue nièce du docteur, en réalité une jeune fille kidnappée. Tout en travaillant à récupérer une rançon auprès du père de son otage, le docteur devine que l'auberge est le lieu d'un trafic et envisage de faire chanter le propriétaire. De son côté, le père de Michelle n'est pas non plus un enfant de chœur et n'a pas l'intention de se laisser faire. Cela fait beaucoup de conflits en perspective…
Personnages
- Le docteur Bernard Samuel.
- Paul Bernin, secrétaire particulier du docteur.
- Michelle Riccardi, enlevée par le docteur.
- Jean Shaben, propriétaire de l'auberge Le Solitaire, et son épouse.
- Robert, chasseur de l'auberge.
- Pichard, chef du personnel de l'auberge.
- Mlle Gilberte, hĂ´tesse de l'auberge.
- Louis, garçon boucher.
- Ange Riccardi, homme d'affaires, père de Michelle.
- CĂ©sar, "gorille" de Riccardi.
- Blanche Verdois, dite Blanchette, patronne du bar parisien Chez Blanchette.
- Édouard Verdois, dit Doudou, son mari.
- M. Lejalle, producteur de cinéma, et son épouse.
Édition
- SĂ©rie noire no 530, 1959
Commentaire
- La plupart des personnages ont une identité ou du moins une activité masquée. D'ailleurs, l'absence de la police dans la liste des personnages n'est qu'apparente.
- Le récit est à la troisième personne et aucun personnage n'est vraiment le héros, même si l'auteur privilégie Paul Bernin et le rend plus sympathique que son patron le docteur Samuel.