Architecture de Legnica
L’aménagement de différents quartiers
Le centre de la ville au cours des années a été touché par les incendies. Dans les années 1960 et 1970, il a été partiellement reconstruit pour développer un Plattenbau et aujourh’hui, sa architecture n’est pas uniforme. Dans le centre, il y a les bâtiments de temps du Moyen Âge (le château des Piast, la cathédrale, l’église Saint-Marie, les tours des remparts de la ville), de la Renaissance (les fragments du château, les maisons « aux harengs », la maison de Przepiórczy Kosz, la maison de Scultetus), du baroque (l’Académie des Chevaliers, l’église de Saint-Jean, l’ancien église de Maurice, la curie des abbés de Lubiąż, l’ancien hôtel de ville), du néo-classicisme (l’ancien bâtiment d’Empik dans la place centrale), du néo-baroque (le bâtiment du lycée no 1, la banque dans la place Klasztorny), les objets de l’architecture contemporaines et les vieux immeubles construits jusqu’au début du XXe siècle[1].
Les quartiers autour du centre de Moyen Âge sont plus unis du point de vue de l’architectures. Au quartier sud, Tarninów, c’est l’architecture éclectique avec les éléments du modernisme et de la sécession qui domine. Dans la partie sur du quartier il y a de nombreux immeubles anciens[2].
Le quartier Fabryczna de l’ouest se compose des usines et des maisons d’ouvriers du XIXe siècle, de même faҫon que le quartier de l’est – Kartuzy, et les terrains du nord et de sud-est. Aussi dans le quartier Ochota (le sud-est, du Parc de la ville au quartier Tarninów) il y a de nombreux immeubles du début du XXe siècle.
Les cités de maison unifamiliales : le quartier Piekary Wielkie avec les maisons mitoyennes à l’ouest, Stare Piekary (au nord-est), Przedmieście Głogowskie (au nord), la partie de la cité Sienkiewicz (au sud), Przybków (au sud), la cité Nowe (au sud) et la partie de la cité Białe Sady (au sud-est) de 1920 réalisent le concept architectonique de la cité-jardin[3]. Les maisons unifamiliales modernes du XIXe siècle se trouvent dans la cité Américaine (à l’ouest), la cité Sienkiewicz (au sud), la cité des Avenues (au sud-est). Les maisons construites à la deuxième moitié du XIXe siècle dans la cité Białe Sady (au sud-ouest), la partie nord du quartier Bielany et la partie nord de la cité Sienkiewicz constuituent un exemple des moins chères maisons unifamiliales[4].
Les immeubles multifamiliaux dans les rues Działkowa, Chojnowska, Marynarska, Asnyk et Złotoryjska (la cité Asnyk), dans la rue Gliwicka (Czarny Dwór) et l’avenue Rzeczypospolitej (Bielany)[5], servent d’exemple de l’architecture du modernisme[6]. La construction de Plattenbau (le système Fadom) se manifeste dans les cités de l’est d’entre les années 1970 et 1980, la cité Kopernik (1980-1990), la cité Piekary et les cités de l’ouest : la partie de la cité Asnyk, la cité Zosinek et les alentours des rues Drzymały i Piątnicka. Les bâtiments aux alentours des rues Myrka, Myśliwca, Słubicka, Poznańska, Chocianowska et à Lasek Złotoryjski, ce sont les terrains de l’ancienne caserne de la Wehrmacht, et ensuite du Groupe Nord de l’Armée rouge, adapté aux appartements contemporains. Il y a aussi quelques bâtiments de Plattenbau, construits par les entreprises polonaises en échange des immeubles occupés dans le centre de la ville (la partie ouest de la cité Zosinek construite en « Plattenbau de Wrocław », les bâtiments des rues Bydgoska, Chojnowska et des rues Marcinkowski, Wybicki et Kościuszki dans le quartier Tarninów) et les bâtiments construits des éléments importés de URSS (les bâtiments de type « Leningrad »).
Références
- Gumiński T. Wiśniewski E. "Legnica. Przewodnik po mieście", Legnica 2001, p. 27
- Gumiński T. Wiśniewski E. "Legnica. Przewodnik po mieście", Legnica 2001, p. 102-103
- "Legnica. Zarys monografii miasta" pod redakcją Dąbrowskiego S. Wrocław-Legnica 1998. p. 392
- "Legnica. Zarys monografii miasta" pod redakcją Dąbrowskiego S. Wrocław-Legnica 1998. p. 402-403
- « Aleja Rzeczypospolitej - dawniej Weissenroder Strasse, Immelmannstrasse, Długa, gen. Karola Świerczewskiego. »
- "Legnica. Zarys monografii miasta" pod redakcją Dąbrowskiego S. Wrocław-Legnica 1998. p. 393-400