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Almaga

Aleksandra Almaga dite « ALMAGA » est une artiste plasticienne internationale née à Lods en Pologne[1].

Depuis 1974 elle Ɠuvre principalement dans la peinture, la gravure, la sculpture, l’installation et la performance. Almaga n'est pas associĂ©e Ă  une mouvance artistique prĂ©cise. Ses sculptures nommĂ©es Orviadans et ses peintures sans format ont fait sa renommĂ©e sur le marchĂ© international de l’art[2].

Biographie

Almaga commence des Ă©tudes Ă  l’AcadĂ©mie des Beaux- arts de ƁódĆș cofondĂ©e en 1945 par WƂadysƂaw StrzemiƄski oĂč elle reçoit un enseignement artistique large, influencĂ© par les tendances du constructivisme[3] en Ă©volution (suivant l’exemple de l’Ɠuvre rĂ©volutionnaire de Katarzyna Kobro), ainsi que par l’étude de l’art moderne aux cĂŽtĂ©s de professeurs tels que Stanislaw Fijalkowski , Stefan Wegner et Stefan Krygier 
[4] - [5] Elle poursuit ses Ă©tudes Ă  l’AcadĂ©mie des Beaux-arts de Varsovie dans les classes d’Eugeniusz Arct, des professeurs Roman Owidzki et Gustaw Zemla.

Elle quitte la Pologne communiste en 1971. AprĂšs son passage Ă  l'ouest, l’artiste s’installe au Canada puis s’établit en Belgique oĂč elle achĂšve son parcours d’étude Ă  l’AcadĂ©mie Royale des Beaux-arts de Bruxelles dans la classe « Peinture d’aprĂšs nature » et aussi dans celle de gravure chez Claude Lyr. Elle restera trĂšs concernĂ©e par sa Pologne natale oĂč elle organisa depuis la Belgique des actions humanitaires lors du Putsch du GĂ©nĂ©ral Jaruzelski et soutint la dissidence anti-communiste. En 1985, Antoni Szram, conservateur du musĂ©e de la ville de Lodz l’invite Ă  exposer ses peintures. Cette exposition fera date et sera reçue en tant que rupture du silence artistique qui cadenassait l’activitĂ© artistique Ă  la suite des restrictions du gouvernement en place (*)[6]. Elle expose trĂšs tĂŽt dans sa carriĂšre dans des galeries et salons internationaux, Ă  Bruxelles, Anvers, Paris et Berlin.

Au dĂ©but des annĂ©es 80, elle installe son atelier en Flandre Orientale prĂšs la frontiĂšre linguistique et dĂ©couvre ainsi la terre des peintres flamands. Elle dĂ©couvre la lumiĂšre si particuliĂšre de cette contrĂ©e qui pĂ©nĂštre l’atmosphĂšre humide par sa limpiditĂ© et sublime la beautĂ© des paysages[7]. En Belgique et en Europe, elle peut approcher de visu les Ɠuvres des primitifs flamands et les peintures baroques de Pierre Paul Rubens et de son Ă©cole, de Gianbatista Tiepolo et Francisco Goya, soit autant d’expĂ©riences esthĂ©tiques intenses qui l’inspirent, la poussent Ă  libĂ©rer son propre geste et Ă  orienter son imagination picturale. L’Ɠuvre de ces gĂ©nies et le baroque en constante Ă©volution nourrissent la substance de son Ɠuvre. NĂ©anmoins, sa formation constructiviste assure la rigueur de ses visions picturales. À ses dĂ©buts elle expose et signe ses Ɠuvres sous le nom d’AmgĂ©[8]. C’est vers 1980 qu’elle prendra comme nom d’artiste Almaga.Elle expose dans le monde entier depuis les annĂ©es 1985.

ƒuvres et formes

Quatre principes orientent son Ɠuvre[9]

  • L’espace et le mouvement
  • Le chaos et l’ordre
  • Les quatre Ă©lĂ©ments
  • La mĂ©tamorphose

L’Ɠuvre d’Almaga se caractĂ©rise par un traitement en intermĂ©dia faisant dialoguer systĂ©matiquement sculpture, peinture et divers mĂ©diums. A travers cette attitude, le travail d’Almaga interroge les matĂ©riaux et les met en valeur en tant que vĂ©hicules de significations et Ă©lĂ©ments de l’espace poĂ©tique. Son travail a trĂšs souvent associĂ© abstraction gĂ©omĂ©trique et figuration rĂ©aliste et se caractĂ©rise par l’importance du mouvement qui traverse toute son Ɠuvre qu’elle soit peinte ou sculptĂ©e.

Ses trois champs médiatiques principaux sont

Peinture

La peinture d’Almaga qui visite tous les mĂ©diums picturaux[10] (huile, acrylique, calligraphie Ă  l’encre, gravure etc.) tire sa spĂ©cificitĂ© de la propension de l’artiste Ă  libĂ©rer la peinture de ses formats, de ses techniques et de ses supports habituels.

Sa peinture passe par des phases d’expĂ©rimentations diverses selon l’émotion liĂ©e Ă  l’observation de la nature et Ă  la rencontre de diverses cultures lors de ses nombreux voyages. Elle se distingue par la composition dĂ©centralisĂ©e, l’action dans la complexitĂ© du mouvement, l’illusion de l'infini marquĂ©e par un geste qui conduit la peinture sur les courbes d’un espace sans limites, oĂč tout semble interagir. L’Ɠuvre ne permet de voir qu'un fragment d'un cycle parmi une grande diversitĂ© de cycles, sans hiĂ©rarchie d'un ordre dominant. Elle fait dĂ©couvrir les interprĂ©tations des mĂ©canismes du rĂ©alisme dans la nature spatiale.

Peinture sans format[11]

Les « peintures sans formats » (1995) sont une des dĂ©clinaisons les plus significatives de cette dĂ©marche. Il s’agit de sphĂšres de rĂ©sine et de fibre de verre sculptĂ©es en diffĂ©rents reliefs et peintes en langage abstrait au mĂ©dian entre sculpture et peinture. La sphĂšre offre une variation infinie de compositions qui mettent en Ă©vidence le jeu des ombres et communiquent le caractĂšre illusoire de la peinture. Elle libĂšre le point de vue de l’observateur qui est poussĂ© naturellement Ă  tourner autour de l’Ɠuvre. Les formes, reliefs et profondeurs sont corrĂ©lĂ©es aux longueurs d’onde des couleurs qui sont associĂ©es dans l’action selon les thĂšmes.Les thĂ©matiques sont directement inspirĂ©es par les diffĂ©rentes phases de la lumiĂšre telles que l’arc-en-ciel, l’aube, le midi, le crĂ©puscule, le coucher du soleil, la nuit, etc.

Sculpture[12]

"L’Orviadans" ou "Outletin" : D’un point de vue formel, l’Orviadans (Hors-Via-Dans/Out-Let-In) prĂ©sente des silhouettes ajourĂ©es dans des tĂŽles d’acier ou autres, juxtaposĂ©es visuellement et donnant du volume Ă  l’air. Cette dĂ©marche a pour effet de crĂ©er une perception dynamique de sujets ouverts en plan superposĂ©s. De cette maniĂšre, l’Orviadans se remplit d’une matiĂšre visible mais intangible constituĂ©e des variations de l’environnement circonscrit par le contour de la forme ouverte, laquelle se modifie au grĂ© du changement de point de vue de l’observateur. L’épaisseur de la tĂŽle est soit polie, soit laissĂ©e matte ou encore peinte, ce qui produit une Ɠuvre qui passe d’une forme figurative biomorphe Ă  une composition abstraite selon l’angle du regard. L’Orviadans convoque le concept de thĂ©ĂątralitĂ© du visionneur dĂšs lors que son point de vue est consubstantiel Ă  l’Ɠuvre et que le cas Ă©chĂ©ant, il peut ĂȘtre lui-mĂȘme absorbĂ© dans le champ de vision d’un autre observateur. Pour Almaga, l’Orviadans est aussi l’expression la plus pure de la nature femelle[13] de son oeuvre, rĂ©inventant une sculpture qui impose moins qu’elle s’ouvre Ă  l’altĂ©ritĂ© pour la maintenir vivante au grĂ© du temps, de la volontĂ© et du hasard. En tant que rĂ©vĂ©lateur, l’Orviadans est une structure ouverte qui, en se laissant traverser, s’unit au monde. Ces Ɠuvres prĂ©sentent l’espace d’un moment oĂč le temps s’arrĂȘte tandis que le mouvement continue[14]. Son thĂšme « Galop » qui reprĂ©sente la course d’un cheval est iconique de cette dĂ©marche[15]. Le trou comme utĂ©rus universel est au cƓur de l’inspiration d’Almaga et s’aperçoit dans la construction de toutes Ɠuvres. Par ce principe, toutes les mises en Ɠuvre s’offrent Ă  l’artiste qui a rĂ©alisĂ© par exemple des Orviadans mobiles rĂ©alisĂ©s avec des feuillards d’acier poli et de bĂ©ton animĂ©s par le vent. Ses Orviadans mobiles comme “Centaure en dance“ (1989) permettent Ă  l’artiste de dessiner dans l’espace au moyen de reflets de lumiĂšre, laissant Ă  cette derniĂšre la constante possibilitĂ© de modifier l’Ɠuvre au grĂ© des heures et des saisons.

Installation[16]

La dimension intermĂ©diatique de l’Ɠuvre d’Almaga la prĂ©dispose naturellement Ă  l’installation et Ă  la performance qui offrent un vaste champ d’expression. L’artiste s’inspire du matĂ©riau et de l’altĂ©ritĂ© du regardeur dans une fusion symbiotique qui engendre de la poĂ©sie; une poĂ©sie impressive de la sensibilitĂ© de l’autre et de la matiĂšre dont elle se fĂ©conde avant d’engendrer une Ɠuvre d’une femelitĂ© qui inscrit dans les regards successifs la possibilitĂ© d’une recrĂ©ation infinie. En 2009, elle prĂ©sente « Feu !.. » Ă  la White Factory de Lodz. Cette Ɠuvre qui reprend l’ordre de tir militaire est composĂ©e par quatre installations principales et successives : « Album », « Succession » (« The Wall » et « Les lettres fatiguĂ©es »), « MĂ©moire » et « Nature ».

« The Wall » est une installation iconique de ce que l’exploration de la matiĂšre peut engendrer du point de vue dramatique et mĂ©taphorique. « The Wall » est un mur concave construit de tĂŽles d’acier inoxydable polies, lesquelles ont Ă©tĂ© criblĂ©es en rafales de balles de Kalashnikov AK47 et M16 par l’artiste elle-mĂȘme. Ce mur qui fait office de miroir se reflĂšte Ă  l’infini rĂ©pliquant sans fin les impacts de tir, l’Ɠuvre Ă©voquant par mĂ©taphore matĂ©rielle l’idĂ©e que la violence une fois initiĂ©e se rĂ©pĂšte sans cesse dans un hĂ©ritage qui nous incombe dĂšs lors que notre propre reflet est lui-mĂȘme transpercĂ©. A la base du revers convexe du mur, des empreintes de pas dans un relief de bĂ©ton Ă©voquent la mĂ©moire de l’ensemble des victimes et des agresseurs L’installation « MĂ©moire » prĂ©sente une fresque calligraphiĂ©e monumentale reprĂ©sentant des femmes Ă©plorĂ©es en vis-Ă -vis d’un champ de sculptures en mĂ©tal chargĂ©s de symboles du pire et du meilleur de l’homme. Les deux champs sont sĂ©parĂ©s par une frontiĂšre, une longue planche remplie de douilles.

Dans le dialogue avec le spectateur, l’Ɠuvre Ă©voque la relativitĂ© des repĂšres et ainsi, de notre regard sur le monde, la diffĂ©rence de la mĂ©moire des femmes et des hommes, les effets nĂ©fastes des hĂ©ritages anachroniques dans l'Ă©quilibre du monde actuel, le mĂ©canisme de la violence, ainsi que les relations entre l'humain et l'interdĂ©pendance des forces fondamentales de la nature. L'artiste a crĂ©Ă© les situations virtuelles oĂč le spectateur fait partie activement de l'Ɠuvre.

Gravure

Perfectionnée auprÚs de Claude Lyr, la gravure semble constituer un champ d'expression spécifique chez l'artiste.

En 1981, la sĂ©rie "Metropolis Blues" illustre la dimension spirituelle que la passion des chevaux revĂȘt pour Almaga[17].

Expositions, projets et réalisations[18].

1974

  • Galerie L’ƒil—Bruxelles.

1975

  • Maison du Goddiarch, 1 prix du jury, Villers-la-Ville, Belgique.
  • I.C.I Bruxelles 1975.

1976

  • Galerie Egmont, 1976, Bruxelles.

1977

1979

  • Salon d’Automne, Paris.

1981

  • Mc. Key Gallery. New York.
  • La RĂ©serve. Knokke. Belgique.
  • ChĂąteau de Lovendegem. Belgique.
  • Atelier. Brakel, Belgique.

1982

  • Au Balcon des Arts.Beyrouth. Liban.
  • Villa SalomĂ©. Waregem. Belgique.

1983

  • Confrontations. Casino de Knokke. Belgique
  • Galerie Jan De Maere, peintures. Bruxelles.

8e Foire d’Art Actuel. Bruxelles.

  • Art 8 BĂąle. Galerie J. De Maere. Suisse.

1984

  • FIAC 1984 Galerie Jan De Maere. Paris. France.
  • Demedtshuis. Wilsbeek. Belgique;
  • MuzeumBiaƂa Podlaska, Symposium, Pologne.

1985[19]

  • MusĂ©e de la Ville de Lodz. Pologne.
  • Galeria BWA, Sopot et Bydgoszcz. Pologne.

1986

  • Galerie Tas. Belgique.
  • Galerie aan de Kippenlijn. Lunteren, Pays-Bas.
  • Galerie Harmagedon. Kortrijk, Belgique.
  • Dow Chemica. Bruxelles.

1987

  • Palais du Midi, "La Foire du Midi"/Peintures - Exposition-performance sous patronage de la Ville de Bruxelles[20].

1989

  • Galerie Kaya.Bruxelles.

1990

  • RĂ©alisation de la sculpture mobile « Chaos et Ordre », parc privĂ©.
  • "Galop" et "Centaure en danse" / Mobiles en grands formats. BĂ©ton et acier inoxydable. Parc de la collection L. Dieleman. Belgique.

1991

  • Zoute Jumping Art, 11 au , Knokke-Heist[21].

1992

  • RĂ©alisation de la premiĂšre sculpture Pure Lola vierge, la sĂ©rie de 8 Volumes dessinĂ©s, fil d’acier et de cuivre, Collection privĂ©e.

1993

  • PremiĂšres« Peinture sans format », Fondation Emiel Veranneman, Kruishoutem, Belgique.

1994

  • TEFAF Ă  Maastricht, Fondation E. Veranneman. Pays Bas.
  • Museum voor Sierkunst Ă  Gand, participation. Belgique
  • "Envol d’Icare". Orviadans grand format, H 6 m × L 3,5 m × L 1 m. BĂ©ton, acier et plastique. Parc de la Fondation E. Veranneman. Kruishoutem, Belgique

1995

  • Exposition de "Peinture sans format". 48 Ɠuvres de 40 Ă  160 cm de diamĂštre. (SphĂšres en rĂ©sines polymĂšre et couleurs). Fondation E. Veranneman. Kruishoutem. Belgique.
  • Exposition Ă  la Marlborough Gallery. New York avec la Fondation E. Veranneman.
  • FIAC, Paris avec Fondation Emiel Veranneman.

1997

  • TEFAF Maastricht avec la Fondation E. Veranneman.
  • Meteoriet I, Inox et bĂ©ton, pour Latexco Ă  Tielt[22].

1996

  • Fondation Prouvost, Marcq-en-BarƓul. France.

1997

  • RĂ©alisation de l'Ɠuvre en grand format de la sĂ©rie « MĂ©tĂ©orites » (inox, diam. 220 cm pour Latexco Sa, Tielt. Belgique.
  • Galerie Its art is.Waterloo.

1998

  • La DĂ©fense. Paris 1998. "Peinture sans format".

1999

  • Banque Internationale Ă  Luxemburg, participation Ă  « Un demi-siĂšcle de sculpture belge ».
  • TEFAF Maastricht avec la Fondation E. Veranneman.
  • CBR, « Formes et matiĂšres ». Bruxelles.
  • Participation Ă  la sĂ©rie d’expositions de groupe en Pologne /Varsovie, Torun, Cracovie.

2000

  • 8e Festival International de la Sculpture". Bordeaux/Abzac.

2001

  • "Belgica Sculptura", 3e biennale de la sculpture monumentale. ChĂąteau d’Oupeye, Belgique Sculpture : « Passage dans troisiĂšme millĂ©naire »

Lineart. Gand.

  • RĂ©alisation de deux versions d’une sculpture monumentale Orviadans, « Galop », en acier corten et inoxydable, L 8,5 m × H 5 m × L 4,8 m, pour la collection A. Van de Kerkhove au ChĂąteau de Gages et pour SphĂšre sa Ă  Brakel.

2002

  • Exposition avec la collection de Madame Christina Maes, Orviadans en petit format sur le thĂšme : "Le SeptiĂšme ciel", en acier inoxydable, cuivre et granit.

2004

  • Collection Arthur Van de Kerhove. ChĂąteau de Gages -rĂ©alisation de « Pranitsa », portrait de la nuit D.S (Dame Seule), inspirĂ© par un mythe slave trĂšs ancien. En granit, acier, polyurĂ©thane, L 2,50 m × H 2,40 m × P 1,50 m.

2009

  • CrĂ©ation et prĂ©sentation de la performance : « Femmes, Rubens et la croix d'Atembeke" dans son nouvel atelier, une Ă©glise dĂ©consacrĂ©e.
  • Exposition de « FEU ! »,4 installations monumentales« Album », « Succession », « MĂ©moire », « Nature », au MusĂ©e "White Factory" Ă  Lodz en Polognesuivie des ateliers philosophiques. Et de larĂ©alisation du vidĂ©o « Fire !... » avec J. Szabela.

2010

  • RĂ©alisation d'un court-mĂ©trage, documentaire : « Femmes, Rubens et la croix d'Atembeke ».

2014

  • Parc privĂ© de SphĂšre sa, « Dimension Iceberg 8 », premiĂšre sculpture de grand format de la sĂ©rie.

2017

  • Art Shopping Carrousel du Louvre, 2017, Paris.

Notes et références

  1. http://www.artnet.fr/artistes/almaga/
  2. Les cahiers de la sculpture, n°3, aout-septembre 1999 p.50-51.
  3. Jacques Collard, « AmgĂ© », Pourquoi Pas?,‎
  4. Les cahiers de la sculpture, n°3, aout-septembre 1999 p.52.
  5. Antoni Szram. Wizje i konkrety. Szkic do portretu na tle historycznym, Lodz 2018. P19
  6. Antoni Szram. Wizje i konkrety. Szkic do portretu na tle historycznym, Lodz 2018. P18
  7. Almaga dans C'EST DU BELGE | vendredi 9 septembre 2011 (Emission RTBF Belgique https://www.rtbf.be/tv/emission/detail_c-est-du-belge/actualites/article_almaga-diffuse-le-9-09-2011?id=6724813&emissionId=56
  8. Paul Caso, « AmgĂ© », Le soir,‎
  9. Les cahiers de la sculpture, n°3, aout-septembre 1999 p.55
  10. (nl) A.Magerman, « Almaga », Gazet van Antwerpen,‎
  11. (pl) Elzbieta Wisniewska, « Almaga.I jef facynacja wielka permanentna metamorfoza », PAL,‎
  12. Un demi siÚcle de sculpture belge dans la collection du crédit communal de Belgique.
  13. Protocole installation Ɠuvre Galop 2011
  14. Les cahiers de la sculpture, n°3, aout-septembre 1999 p.53-55.
  15. « Galop, vente aux enchÚres de almaga (4445444) », sur Artprice.com (consulté le ).
  16. Feu!, catalogue d'exposition Ă  la White factory 10 septembre au 11 octobre 2009
  17. (nl) Willy Otte, « Almaga, harmonie tussen kunst, techniek, idee en...paarden. », Ruiter Magazine,‎ 04/1981.
  18. F.Mernissi et M.Voisin, Almaga.Exposition dans l'avenue de Stalingrad du 1er au 21 août 1987.Catalogue., Bruxelles, Ville de Bruxelles, , Page 6
  19. (pl) Lucyna Hoszowska, « Almaga », Express Magazyn,‎
  20. Jacques Van de Voorde, « Almaga et la kermesse », La DH,‎
  21. (nl) S.A., « Zoute Jumping Art », Kunstgids,‎
  22. (nl) Joost De Geest, « De bollen van Almaga », De Standaard,‎
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