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Akonhoun

Le Akonhoun est à la fois un rythme et une danse traditionnelle festive issue du sud Bénin.

Akonhoun
Détails
Origines culturelles
Instruments typiques
Percussion des mains et des pieds
Popularité
Populaire et festive
mariages coutumiers, baptĂŞmes traditionnels, inhumations

Description

Akonhoun (Akon= torse et Houn=rythme) veut dire littéralement le rythme du torse en langue fongbé.

La danse se pratique généralement par des hommes. Ils battent de façon musicale de leurs mains leurs torses . L'Akonhoun est très jouée à Abomey[1] - [2] - [3] - [4] - [5] - [6]. Il s'exécute le plus souvent lors des cérémonies de réjouissances populaires comme les mariages coutumiers, les baptêmes traditionnels mais aussi des fois lors des inhumations.

Références et bibliographie

Références

  1. « Je vous présente le Rythme Akonhoun », sur BABILOWN~Mawolè (consulté le )
  2. « Akonhoun Towara Bénin », sur towara (consulté le )
  3. « Patrimoine Bénin - Akonhoun, Danse de Réjouissance, Aire culturelle Yoruba Nago », sur www.patrimoinebenin.org (consulté le )
  4. Elsevier Masson, « Répercussions des danses traditionnelles béninoises (Zinli, Tchinkounmè et Akonhoun) sur la musculature lombopelvienne », sur EM-Consulte (consulté le )
  5. « Anagonou Vodjo, la vedette du Akonhoun n’est plus », sur La Nouvelle Tribune, (consulté le )
  6. (en) « Répercussions des danses traditionnelles béninoises (Zinli, Tchinkounmè et Akonhoun) sur la musculature lombopelvienne », Journal de Réadaptation Médicale : Pratique et Formation en Médecine Physique et de Réadaptation, vol. 32, no 3,‎ , p. 108–113 (ISSN 0242-648X, DOI 10.1016/j.jrm.2012.09.001, lire en ligne, consulté le )

Bibliographie

  • (en) G.T. Kpadonoua, B.AwèdĂ©b, E.AlagnidĂ©a, D.Niama Nattaa, G.HoungbĂ©djia et H.Ahossia, « RĂ©percussions des danses traditionnelles bĂ©ninoises (Zinli, Tchinkounmè et Akonhoun) sur la musculature lombopelvienne », Journal de RĂ©adaptation MĂ©dicale : Pratique et Formation en MĂ©decine Physique et de RĂ©adaptation, vol. 32, no 3,‎ (DOI 10.1016/j.jrm.2012.09.001, lire en ligne, consultĂ© le ).
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