Agbor Gilbert Ebot

Ebot est né de parents camerounais et nigérians. Son père est un Camerounais de Mamfé (Manyu) au Sud-Ouest du Cameroun tandis que sa mère est une Nigériane originaire de l'État de Cross River au Nigeria[4]. Il a étudié au lycée technique du gouvernement GTHS de Mamfé.

Agbor Gilbert Ebot n'a fréquenté aucune école technique de cinéma. En 2003, il rencontre Jeta Amata, Fred Amata, Olu Jacobs et Rita Dominic à Calabar au Nigéria lors du tournages d'un film. Renvoyé souvent par manque de connaissance du domaine cinematographique. Il revenaient malgré tous sur les lieux, il s'assoyait là et aidait en tant qu'assistant de production sur le plateau, et c'est ainsi que son intérêt pour le cinéma a grandi[4]. En septembre 2017, il a représenté l'industrie cinématographique camerounaise aux Heroes in the Struggle Awards à Los Angeles et a dit :

« Parce que je ne tire pas les gens vers le bas, Dieu ne me laissera pas tomber, parce que je ne sais pas comment détruire les rêves, Dieu réalisera mon propre rêve, je suis un constructeur, je suis un partisan, je suis votre ami. »[5]

Ebot a proféré des menaces contre la bloggeuse et activiste LGBT Bandy Kiki, affirmant que « Si je t'attrape pour le Cameroun, je vais violer tu vas bien pour que le démon du lesbianisme vienne à ton corps. J'ai des plans pour te donner belle. »[6]

• Cinéma camerounais