Accueil🇫🇷Chercher

Église Notre-Dame-de-l'Assomption de La Chapelle-Laurent

L'église Notre-Dame-de-l'Assomption est une église catholique d'origine romane située à La Chapelle-Laurent, dans le département français du Cantal et la région Auvergne-Rhône-Alpes.

Église Notre-Dame-de-l'Assomption
Église Notre-Dame-de-l'Assomption de La Chapelle-Laurent (côté place).
Église Notre-Dame-de-l'Assomption de La Chapelle-Laurent (côté place).
Présentation
Culte Catholique
Type Église
Début de la construction XIIIe siècle
Style dominant Art roman auvergnat
Protection Logo monument historique Inscrit MH (1969)
Géographie
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Cantal
Ville La Chapelle-Laurent
Coordonnées 45° 10′ 39″ nord, 3° 14′ 34″ est
Géolocalisation sur la carte : Cantal
(Voir situation sur carte : Cantal)
Église Notre-Dame-de-l'Assomption
Géolocalisation sur la carte : Auvergne
(Voir situation sur carte : Auvergne)
Église Notre-Dame-de-l'Assomption
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Église Notre-Dame-de-l'Assomption

Le chœur, seul conservé de l'époque romane, fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le [1].

Historique

Église Notre-Dame-de-l'Assomption de La Chapelle-Laurent (façade)

L'église romane est construite dans la première moitié du XIIIe siècle[2] et modifiée au XVIe siècle par l'ajout de deux chapelles latérales. La nef et le clocher sont d'origine moderne[1].

Pierre Moulier relève des similitudes architecturales entre cette église et celle de Saint-Mary-le-Plain, concluant que ce sont « deux églises jumelles, construites à la même époque par les mêmes artisans, cas assez rare pour être signalé[3] ».

Bibliographie

  • Pierre Moulier (ill. Pascale Moulier), Églises romanes de Haute-Auvergne : Région de Saint-Flour, t. 3, Éditions Créer, , 187 p. (ISBN 9782909797694, lire en ligne), p. 83-84.

Annexes

Liens internes

Références

Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.