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École supérieure d'informatique de gestion de Sierre

L'École Supérieure d'Informatique de gestion Sierre (ESIS) était un établissement du secteur tertiaire non universitaire.

Ecole supérieure d'informatique de gestion de Sierre (ESIS)
Esis - HFW.png
Histoire et statut
Fondation
1985-86
Dissolution
2005
Type
Ecole technique
Nom officiel
Ecole technique d'informatique de Sierre (ETI) / Ecole technique cantonale (ETC)
Régime linguistique
Localisation
Campus
Max-Huber
Ville
Pays

Autres appellations : École technique d'informatique de Sierre (ETI), École technique cantonale (ETC)

Elle dispensait un enseignement de qualité intégrant des connaissances professionnelles pratiques et des concepts de travail sans cesse remis à jour en fonction de l'environnement professionnel.

Historique

Logo de l'Ecole Technique d'Informatique

Active dès 1985, principalement dans le domaine de l'informatique de gestion, l'ESIS proposait également au monde économique et au grand public un vaste programme de cours de formation continue et de recyclage dans les domaines Internet et réseau, bureautique et dessin assisté par ordinateur[1].

Description

École bilingue, l'ESIS proposait ses programmes de formation en allemand et en français[2]. La formation à plein temps se déroulait pendant deux ans, la journée, du lundi au vendredi.

La filière en emploi permettait d'envisager la poursuite d'une activité professionnelle à temps partiel. Les études en emploi durait trois ans et demi et étaient organisées sur une journée et demie par semaine. L'ESIS était une école partenaire de la haute école valaisanne, actuellement (HES-SO Valais-Wallis).

Cette formation a disparu en 2005[3] et a été remplacée par le Bachelor of Science en Informatique de gestion HES dispensé par la Haute École de gestion & tourisme.

 Liens externes

Notes et références

  1. am, « L'Ecole technique de Sierre fonctionnera en janvier prochain », Le Nouvelliste,‎ , p. 28
  2. pb, « ETC-KTS :l'école devient bilingue », Le Nouvelliste,‎ , p. 32
  3. Laurent Savary, « On va manquer d'informaticiens », Le Nouvelliste,‎ , p. 8